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L’automobiliste avec 42 points conduisant toujours

Une conductrice d’Isleworth, Londres, a manipulé pour enregistrer 42 points sur son permis de conduire en un peu plus de six mois en 2012, mais il était toujours en mesure de conduire, selon l’Institute of Advanced Automobilistes.
L’automobiliste s’est géré pour accumuler l’ensemble de mai à décembre de l’année dernière, ont montré les données du DVLA. Les pénalités ont été obtenues sur sept événements différents avec six points à chaque fois en raison de l’incapacité à fournir des informations sur l’identité du conducteur.
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Les conducteurs traitent normalement d’une interdiction pour rassembler 12 points sur trois ans. Néanmoins, ce pilote a pu continuer à conduire. De plus qu’elle n’était pas la seule car les chiffres ont exposé le titulaire des points de licence des 20 meilleurs.
Deuxièmement sur la liste, un conducteur masculin de Warrington, Cheshire, qui a manipulé pour obtenir un global de 36 points, le tout pour la conduite sans assurance. En plus d’un gars de Southend, Essex, a été surpris en train de faire un excès 10 fois entre mars 2011 ainsi qu’août 2012.
Le directeur général de l’IAM, Simon Finest, a déclaré: «L’IAM n’a aucune sympathie pour les propriétaires qui refusent d’exposer l’identité du conducteur, ainsi que nous accueillerions une consultation urgente sur de nouvelles méthodes à offrir ce problème. Les conducteurs doivent s’attendre à ce que 12 points signifient une interdiction ou l’ensemble du système tombe en discrédité. »
Les tribunaux HM ainsi que le service des tribunaux ont expliqué que la raison pour laquelle les conducteurs n’obtiennent pas d’interdiction étaient un mélange de pouvoir discrétionnaire des juges ainsi que du problème de partage de données avec la DVLA.
«Les magistrats peuvent utiliser leur pouvoir discrétionnaire pour ne pas appliquer une interdiction de conduire si cela entraînerait des difficultés remarquables, comme perdre une tâche ou la capacité de prendre soin d’une personne à charge. Une amende sera toujours appliquée », a expliqué un porte-parole.
“Seul un extrêmement petit nombre de situations sont affectées par le problème de partage de données, ainsi que nous travaillons soigneusement avec DVLA pour améliorer cela.”

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